Les bases scientifiques de la géobiologie contemporaine remontent au début du 20ème siècle.
En 1927, Le professeur Darsonval met en évidence le nombre important de cancers chez des habitants vivants sur des failles. A la même époque, Georges Laskowski, l’inventeur de la radio en France, observe que les terrains perdent leur charge électrique au-dessus des failles et que ces zones coïncident avec trois fois plus de cancers chez les habitants.
En 1929, Le Baron allemand Van Pohl constate un nombre très important de cancer au-dessus des veines d’eau souterraines, en Bavière. Havilland en Angleterre fait de même.
En 1930, Robinet, pharmacien, constate un taux de cancer élevé dans des lieux où le sous-sol ne contient pas de magnésium. Il élargit l’observation au règne animal et végétal.
Entre 1932 et 1939, les suisses Liener et Jenny étudient les réactions de colonies de souris sur des sites géo pathogènes.
En 1934, Rimbaud constate une modification de l’intensité des ondes moyennes du spectre électromagnétique au-dessus d’une faille.
En 1936, Henri Chrétien publie un livre sur les courants telluriques et la radioactivité.
En 1935 et 1936, le Savoyard, l’abbé Mermet et le Belge, le révérend Achille Desbuquoit mettent en évidence par radiesthésie des pathologies graves à l’aplomb d’eau souterraine: cancer, arthrose, maladies respiratoires, asthme, eczémas, maladies chroniques et rebelles, convulsions…
Après la guerre 1939-45, le Dr Peyré à Bagnol-sur-Orne fait des observations intéressantes sur les radiations cosmo telluriques. Il est le premier à mettre en évidence le grand réseau mégalithique, quadrillage d’environ 8m x 8m orienté sur les parallèles et les méridiens terrestres.
En 1951, le docteur Allemand, Ernest Hartmann pose les bases de la géobiologie et de la géo-pathologie moderne. Un rayonnement tellurique porte son nom. Puis le Docteur Curry, le Professeur Rocard, les architectes S. Cardinaux et G. Prat et bien d’autres continuent à révéler la complexité de notre vie face à l’environnement vibratoire naturel.