Perturbations électro-magnétiques d’origine artificielle

Les travers de la modernité, L’électricité fait aujourd’hui partie intégrante de notre environnement quotidien, les sources de rayonnements électromagnétiques artificiels se multiplient constamment, tant en fréquence qu’en intensité, nous pouvons parler de véritable brouillard électromagnétique, ou « électrosmog »… Imperceptibles, invisibles, elles s’ajoutent aux émissions naturelles et perturbent notre fonctionnement biologique, de plus en plus de personnes développent des pathologies du fait de ce bouillon d’ondes dans lequel nous baignons constamment.

Pollution électro-magnétique basse fréquence :

  • Champs électriques :  réseau d’approvisionnement domestique 50Hz, retombe en « pluie » et transmettent leur charge électroniques en permanence autour de tous les appareils et conducteurs sous tension à nos lieux de vie.

    Un appareil simplement branché même non utilisé peut être source de pollution de champ électrique (ordinateurs, lampes de bureau, robots ménagers, radio-réveil, table de chevet…).

    Sur le plan de la protection, on peut dire que le champ électrique est facilement arrêté ou drainé. Des écrans simples tels que cloisons, haies d’arbres, talus de pierre peuvent réduire le champ électrique. Une mise à la terre efficace peut également amener une protection très efficace. Elle permet d’évacuer vers le sol les charges responsables des champs électriques polluants.

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  • Champs magnétiques : réseau d’approvisionnement domestique 50Hz émet un champ magnétique radiant qui varie en fonction de l’intensité du courant. De ce fait, des personnes vivant sous une ligne électrique seront exposées à des champs électriques plus ou moins intenses en fonction des moments de la journée et des périodes de l’année.

    Sur le plan de la protection, le champ magnétique est plus difficile à limiter. Il faut utiliser des matériaux particuliers, tels que le mu métal, des plaques de métal enrichies en silicium ou les plaques spéciales type Magnetic Shield.

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L’analyse des pollutions électromagnétiques de basses fréquences permet d’identifier les sources et de mesurer l’intensité des champs électriques et magnétiques présents dans l’habitat, causés par l’installation électrique du bâtiment (câbles, lampes, appareils…) ou par l’environnement extérieur (lignes haute-tension à proximité, câbles électriques, transformateurs…)

Pollution électro-magnétique hyper-fréquence :

Antennes Relais, appareils électroménagers (micro-ondesl ménagers qui utilisent l’effet thermique des hyperfréquences afin de chauffer aliments et boissons.…), antennes-relais, téléphonie sans fil DECT, WiFi, CPL Babyphone,… Tous les systèmes de communication sans fil utilisent les hyperfréquences pour leurs propriétés de propagation dans l’air. Ce sont les ondes électromagnétiques qui véhiculent l’information souhaitée dans l’environnement.

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L’utilisation de ces technologies engendre la présence d’ondes électromagnétiques artificielles dans notre environnement quotidien. Invisible à l’oeil nu, le brouillard électromagnétique appelé electrosmog peut être extrêmement important et nuisible pour la santé.

La mesure et l’analyse des différents types d’ondes présents dans l’environnement et leur  comparaison avec les normes bio-compatibles permet d’évaluer les risques potentiels et de prendre les mesures de protection nécessaires.

Le Parlement Européen estime que le niveau d’exposition de l’espèce humaine aux champs électromagnétiques a été multiplié par 1 milliard depuis 1945.  Afin de déterminer le seuil limite d’exposition en dessous duquel il est certain qu’aucun danger n’est à signaler pour la santé des normes sont établies.

Les normes officielles sont fixées par les autorités dans chaque Etat. Des organismes indépendants (dont l’ICNIRP et le FCC) soumettent des recommandations aux Etats qui déterminent ensuite les valeurs limites d’exposition.

Les résultats des recherches scientifiques annoncent des risques sanitaires pour des expositions situées en dessous des normes en vigueur en France. 

Ondes Géopathogènes d’origine naturelle